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Critiques

Bien sûr, je ne joue pas qu'aux MMORPG. À vrai dire, mes goûts sont plutôt éclectiques : des jeux Arcade aux simulations de véhicules, en passant par les jeux de sport. 

 

Je suis entré dans le monde du gaming par des jeux devenus aujourd'hui de véritables classiques : Street Fighter et Mortal Kombat. Vous trouverez ci-dessous une critique de ces deux franchises et bien plus encore. 

Monkey Island

Je me souviens encore de la sortie de Monkey Island en 1990. J'avais hâte de revenir chez moi pour découvrir cette île perdue dans les Caraïbes. Moi qui avais toujours rêvé de devenir pirate, voilà que mon rêve pouvait devenir réalité ! Je dis « pouvait » car il me fallait d'abord surmonter tous les obstacles, déjouer les ruses et retrouver Marley. Bien qu'il ait quelque peu vieilli, ce jeu reste une référence notamment en raison de ce savant mélange d'humour, d'aventure et d'énigmes.

Street Fighter 

Street Fighter n'est plus à présenter. J'ai suivi le développement de cette franchise depuis ses débuts en 1987. Ce jeu est une sorte de pionnier car il a notamment introduit des coups spéciaux devenus l'une des marques de fabrique de la série. Le nouvel opus, sorti en 2008, a de quoi satisfaire les fans de la première heure (comme moi !) puisque Ryu et Ken sont toujours de la partie. Le casting élargi, la modélisation en 3D des personnages et des décors, ainsi que les mises en scène impressionnantes font de ce jeu une grande réussite qui vous réservera certainement de longues heures de plaisir.

Medal Of Honor : Heroes 2 

Medal Of Honor : Heroes 2 est fait pour les durs. Ce jeu qui s'inscrit dans la série « Seconde Guerre mondiale » affiche un réalisme pouvant parfois soulever le cœur : corps dépecés, cris déchirants, etc. Malgré des mises en scène énergiques, le jeu montre rapidement ses faiblesses : missions trop vite expédiées, campagne faiblarde. En bref, malgré des environnements variés et mieux définis que dans le dernier opus, ce jeu de tir subjectif reste somme toute très linéaire. Circulez, il n'y a rien à shooter ! 

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© Stephane Bursac